L’AMOUR

Le mot amour est présent dans toutes les cultures. Du fait de ses nombreux usages, ce terme a été banalisé et on lui a attribué diverses significations erronées. De tous temps les poètes, philosophes, musiciens et écrivains ont écrit, chanté et réfléchi à l’amour.

Sur le chemin, sans en connaître la destination

Assise dans un petit appartement agréable de Johannesbourg en Afrique du Sud en novembre 2018, je me mis à réfléchir à un week-end que j’avais passé en Éthiopie, près de la frontière du Soudan du Sud. La guerre au Soudan avait causé le départ de centaines de milliers de personnes réfugiées qui vivaient dans plusieurs camps de cette région.

Notre état premier

Après avoir écouté le pasteur, Jim commença à considérer sa vie. L’évocation d’une intimité avec Dieu le toucha particulièrement, révélant son besoin intérieur. Pendant le moment de questions et de réponses, Jim ne put rester silencieux. Il se leva et expliqua que de nombreuses années auparavant, il avait donné sa vie à Jésus. Il dit : « J’ai fait tout ce que je devais faire. J’allais régulièrement à l’église. J’étais fidèle dans la lecture de la Bible et la prière et je participais aux offrandes dans mon église.

La vie avec Dieu

L’histoire des deux disciples sur la route qui mène à la ville d’Emmaüs le jour de la résurrection de Jésus (Luc 24.13-35) est un récit puissant qui décrit l’une de ces rencontres avec Jésus qui transforment la vie d’une personne pour toujours. Bien que cette histoire soit unique, elle est devenue un exemple du parcours de grâce pour beaucoup de gens—assurément c’est le cas pour moi.

Au bord de toutes choses

La formule « au bord de toutes choses » est tirée d’un livre publié récemment écrit par Parker Palmer.[1] M. Palmer est un professeur connu, un écrivain et un penseur. Il a récemment fêté ses 80 ans et dans son livre, il regarde l’ensemble du paysage de sa vie. En fait, le sous-titre du livre est : « La Grâce, la gravité et le vieillissement ».

La vie est un parcours

Notre vie spirituelle est un parcours : un parcours de grâce. Il commence lorsque nous entendons l’appel de Dieu à venir et à le suivre, à placer notre foi en Jésus-Christ. C’était vrai dans la vie de Simon Pierre. Un jour qu’il nettoyait ses filets de pêche avec son frère André, Jésus les vit et les invita à venir et à le suivre. Sur le champ, Pierre et André quittèrent tout et suivirent Jésus. Cette décision changea leur vie.

Un parcours de grâce

Lorsque j’ai pris mes fonctions en tant que directeur mondial des Ministères de l’École du dimanche et de la Formation des disciples internationaux (MEDFDI) en août 2018, beaucoup m’ont posé la question : « Quand tu parles de discipulat, quel sens donnes-tu à ce terme « discipulat » ? Est-ce que cela signifie « école du dimanche » ? Ou encore « petits groupes » ? Ou est-ce plutôt le « mentorat d’une personne avec une autre » ?

Les éléments essentiels du discipulat

Le sujet du discipulat me fait immédiatement penser à mon enfance. J’ai eu la chance d’être formé en tant que disciple par mes parents. La vie de mes parents était fondée sur une vie de disciple incarnée. Les activités de la semaine et les conversations familiales autour de notre table pointaient chacun d’entre nous vers le Christ. S’il existait un projet officiel de discipulat, nous ne l’avons jamais vu. Mais nous connaissions les leçons par cœur. C’était notre identité et ce que nous faisions en tant que chrétiens.

Venez, suivez-moi

Le « parcours de grâce » est une invitation à connaître une vie marquée par une puissance de transformation qui change une personne, passant d’une vie de péché à une vie de grâce — une vie où la faveur inconditionnelle et imméritée de Dieu est révélée à tous ceux qui le suivent.